BMC Teammachine SLR02 DISC ONE

Il choisirait ce vélo entre mille, et le recommande à ses amis ; dans les faits, cet ancien coureur de Grands Tours ne compte plus le nombre de fois où il a vanté les mérites de ce vélo de route. « J’ai encore mon SLR de première génération à la maison, et je l’utilise régulièrement, aujourd’hui par exemple », explique l'Australien. « À l’époque, ça a été une révélation. Ce SLR n’a cessé de se révéler à mesure que les routes étaient plus longues et plus difficiles. Mais c’est avec ce même vélo que je pouvais aussi gravir de courtes montées abruptes et couper les virages avec une précision centimétrique. » Concert d’éloges de la part de Cadel, célèbre pour son intransigeance extrême et son exigence de l’équilibre parfait entre confort et rigidité.

Dès la première génération de SLR, en 2010, j’ai été séduit par son niveau de souplesse et de confort inégalé », poursuit-il. « Sur le Tour de France, le fait de voir de nombreux concurrents devoir se lever de selle sur les sections de route difficiles alors que nous pouvions rester confortablement assis et continuer à pédaler, même sur les derniers kilomètres d'une étape, est ce qui nous a permis de rester plus frais jusqu’à la dernière ligne droite. »Ma préférence va à la version noire discrète, avec son poids inférieur à six kilogrammes, conçue pour ma participation au Taiwan KOM Challenge. » Cadel a connu plus de Teammachine d’exception que quiconque, mais les coloris et le kit additionnel mis à part, son utilisation en elle-même l’impressionne toujours. Prochaine destination ?